Pensée du Jour du Saint Curé d'Ars

Plus on connaît les hommes moins on les aime. C'est le contraire pour Dieu : plus on le connaît, plus on l'aime. Cette connaissance embrase l'âme d'un si grand amour, qu'elle ne peut plus aimer ni désirer que Dieu. Aujourd'hui nous fêtons St Germain, et le Saint curé d'Ars nous fait méditer sur une vérité que nous oublions bien souvent : l'amour de Dieu. En effet, qui n'a jamais été éprouvé par cette déception de la trahison par son meilleur ami ? C'est ainsi que sont les hommes ; et plus on les connait, plus on connait leur défaut, leur cruauté et leur vices. A chaque fois que nous recevons une déception, nous haïssons toujours plus la nature humaine, car par sa faiblesse, elle ne peut combler le désir infini d'amour de l'homme. Par contre, Celui qui peut nous combler pleinement et surtout ne jamais nous décevoir c'est bien Dieu ! Plus nous le connaissons, plus nous avons envie de le connaitre, plus nous l'aimons et plus il

Il y a deux manières de souffrir : souffrir en aimant et souffrir sans aimer. Les saints souffraient tous avec patience, joie, persévérance, parce qu'ils aimaient. Nous souffrons, nous, avec colère, dépit et lassitude, parce que nous n'aimons pas. Si nous aimons Dieu, nous serions heureux de pouvoir souffrir pour l'amour de Celui qui a bien voulu souffrir pour nous. Aujourd'hui le St Curé d'Ars nous propose de méditer sur la souffrance. Mais tout d'abord, posons-nous la question : "Qu'est-ce que la souffrance?"   "La souffrance, ou la douleur  dans ce sens, est une expérience affective de base désagréable et d'aversion. Elle est associée pour l'individu  concerné à un dommage ou à une menace de dommage." Oui, la souffrance est quelque chose qui fait mal, et qui est désagréable. Mais comme nous l’avons vu dans l’épitre de St Paul de ce dimanche, nous avons deux moyens de faire les choses : soit avec amour, soit sans amour. C’est e

La dévotion à la sainte Vierge est moelleuse, douce, nourrissante. Aujourd'hui c'est la fête de Notre-Dame de Lourdes. En ce jour, le St Curé d'Ars nous montre a quel point la dévotion à la Très Saint Vierge Marie est quelque chose de facile et de doux. En effet, la dévotion au Cœur immaculé de Marie est très important, car comme Notre-Dame nous l'a dit elle-même à La Salette, elle est notre dernier espoir de salut en ces fin dernières toujours plus proche. Cependant, cette dévotion, loin d'être complexe et astreignante, est toute simple : si l'on connait le Je Vous Salue Marie, on connait la plus grosse partie ! Quoi de plus facile que de réciter un Je Vous Salue Marie ? On p eut en réciter à n'importe quelle occasion ! Alors quelle excuse avons nous pour ne pas avoir fait le chapelet à la fin de la journée ? On peut facilement le morceler : en dire une partie en allant au travail, une autre en revenant, et une dizaine en famille... Notre-Dame de L