Pensée du Jour du Saint Curé d'Ars

Nous voulons aller au ciel mais avec toutes nos aises, sans nous gêner de rien. Considérons nous à cet embranchement de la vie, semblable à une route qui se divise. A droite monte un petit chemin étroit et escarpé ; à gauche, une large autoroute descendant à 8%. Les panneaux indicateurs sont vieux et l'on n'arrive plus bien à lire ce qui est écrit dessus. ... (sera complété dès que possible)

Par la prière, l'âme est comme un poisson dans l'eau. Plus les eaux sont abondantes, plus le poisson est content. Plus l'âme se livre à la prière, plus elle est heureuse.

Je sais que nous sommes faibles, que nous pouvons tomber dans le péché. Cependant c'est notre faute, parce que le bon Dieu ne nous refuse pas sa grâce. Mais rester dans le péché après l'avoir commis, ayant tous les moyens de s'en sortir, rester dans la haine de Dieu est une chose que je n'ai jamais pu comprendre.

Hélas, on ne conçoit pas comment et de quoi une si petite créature que nous peut s'enorgueillir. Une pincée de poussière grosse comme une noix : voilà ce que nous deviendrons après notre mort. Il y a bien de quoi être fier !

Faites des bonnes œuvres tant que vous voudrez ; si vous ne priez pas souvent et comme il faut, jamais vous ne serez sauvés.

Celui-ci fait un grand jeune et qui est très agréable à Dieu, quand il combat son amour propre, son orgueil, sa répugnance à faire ce qu'il n'aime pas faire, ou en étant avec des personnes qui contrarient son caractère, ses manières d'agir.

Il faut prier tout simplement et dire : Mon Dieu, voilà une âme bien pauvre  qui n'a rien, qui ne peut rien, faites moi la grâce de vous aimer, de vous servir et de connaitre que je ne suis rien.

Si vous demandiez à Dieu de tout votre cœur votre conversion, sûr, vous l'obtiendrez.

On demeure en arrière, on dit :"Pourvu  que je me sauve, c'est tout ce qu'il me faut. Je ne veux pas être un saint" si vus n'êtes pas un saint, vous serez un réprouvé : il n'y a pas de milieu. Il faut être l'un où l'autre. Prenez-y garde !

Oh !qu'au moment de la mort on regrettera le temps qu'on aura donné au plaisir, aux conversations inutiles, au repos, au lieu de l'avoir employé à la mortification, à la prière, aux bonnes œuvres, à penser à sa misère, à pleurer ses péchés ! C'est alors que l'on verra qu'on  n'a rien fait pour le Ciel.

Le dimanche c'est le bien du bon Dieu ; c'est son jour à lui, le jour du Seigneur.

Nous recevons toujours les sacrements et nous sommes toujours les mêmes : prenons garde !

Dieu ne nous perd pas plus de vue qu'une mère ne perd de vue son enfant qui commence à remuer le pied.

Quelque grande que soient nos occupations,, nous pouvons prier le bon Dieu sans rien déranger de nos affaires.

Le bon Dieu est meilleur que le diable n'est méchant ; c'est lui qui me garde. Ce que Dieu garde est bien gardé.

Allons, mon âme, tu vas converser avec le bon Dieu, travailler avec lui, marcher avec lui, combattre et souffrir avec lui. Tu travailleras, mais il bénira ton travail, tu marcheras mais il bénira tes pas ; tu souffriras mais il bénira tes larmes. Qu'il est grand, qu'il est noble, qu'il est consolant de tout faire en la compagnie et sous les yeux du bon Dieu de penser qu'il voit tout, qu'il compte tout !

Notre corps est un vase de corruption ; il est pour la mort et pour les vers pas plus. Et pourtant nous nous appliquons à le satisfaire plutôt qu'a enrichir notre âme, qui est  si grande qu'on ne peut rien imaginer de plus grand, non, rien, rien ! Car nous voyons que Dieu, pressé par l'ardeur de sa charité, n'a pas voulu nous créer semblable aux animaux ; il nous a créé à son image et ressemblance, voyez vous. Oh ! que l'homme est grand !

Oui, dès qu'un enfant commence à dire quelques mots, vous devez lui apprendre à prononcer les saints noms de Jésus et Marie. Nous lisons de St Thomas de Villeneuve que les premières paroles qui sortirent de sa bouche furent : "Jésus Marie", parce qu'il avait des parents bien chrétiens qui lui disaient souvent ces paroles.

Jamais je n'ai été si heureux que dans les moments où j'ai été persécuté, calomnié. Dieu m'inondait alors de consolations ; Dieu m'accordait tout ce que je lui demandais.

L'homme n'est pas seulement une bête de travail, c'est aussi un esprit créé à l'image de Dieu . Il n'a pas que des besoins matériels et des appétits grossiers, il a des besoins de l'âme et des appétit de coeur ; il ne vit pas seulement de pain, il vit de prière, il vit de foi d'adoration et d'amour.

La prière est à notre âme ce que la pluie est  à la terre. Fumez la terre, tant que vous voudrez, si la  pluie manque, tout ce que vous ferez ne servira à rien.

Oh ! comme il se trompe dans ses calculs celui qui se démène le dimanche avec la pensée qu'il va gagner de l'argent ou faire plus d'ouvrage ! Est-ce que  deux ou trois francs pourront jamais compenser le tort qu'il se fait lui-même en violant la loi du bon Dieu ?

Nous ne devrions pas plus perdre la présence de Dieu que nous ne perdons la respiration.

Vous verrez si le bon Dieu se laisse vaincre en générosité, s'il  ne vous accorde pas cent fois plus que vous en lui aurez accordé.

Mes enfants, tous les êtres de la Création ont besoin de  se nourrir pour vivre. Mais il faut que l'âme aussi se nourrisse. Où est donc sa nourriture ? La nourriture de l'âme est le corps et le sang d'un Dieu. Ô belle nourriture !

Le bon Dieu veut nous sauver et nous ne voulons rien faire pour notre salut.

Pourquoi les hommes s'exposent-ils à être maudits de Dieu ? Pour un blasphème, pour une mauvaise pensée, pour deux minutes de plaisir ! Pour deux minutes de plaisir perdre Dieu, son âme, le ciel, pour toujours !

Ce n'est pas la grandeur des actions qui leur donne le mérite, mais la pureté d'intention avec laquelle nous les faisons.

Celui qui écoute la parole de Dieu avec un vrai désir d'e n profiter est plus agréable à Dieu que celui qui le reçoit dans la sainte comunion

La Sainte communion et le Sacrifice de la messe sont les deux actes les plus efficaces pour obtenir les changement de coeur.

On connait les amis du Bon Dieu à ce qu'ils font ce qu'ils ne sont pas obligés de faire.

Les parents vraiment chrétiens ne doivent jamais manquer d'inspirer à leurs enfants une tendre dévotion envers la Sainte Vierge : c'est le véritable moyen d'attirer sur leur famille les bénédictions du Ciel et la protection de Marie. Ah ! pères et mères, si vous aviez le bonheur de recommander souvent à vos enfants la dévotion à la très sainte Vierge Marie, que grâces elle leur obtiendrait ! que de vertus ils pratiqueraient ! Vous verriez naitre en eux tout ce qu'il y a de capable de les rendre agréable au bon Dieu.

Les peuples païens ne peuvent pas avoir part au bienfait de la rédemption, tant qu'ils n'auront pas des prêtres pour leur faire l'application du sang de Jésus

Quand le Bon Dieu est seul chargé de nos intérêts, il y va de sa justice et de sa bonté de nous aider à nous secourir.

Les bons chrétiens qui travaillent à sauver leur âme sont toujours heureux et contents ; ils jouissent par avance, du bonheur du Ciel ; ils seront heureux pendant toute l'éternité. Tandis que les mauvais chrétiens qui se damnent, sont toujours à plaindre ; ils murmurent, ils sont tristes, il le seront pendant toute l'éternité.

Nous sommes donc quelque chose de bien grand, puisque le Bon Dieu qui nous a créé, qui nous a racheté, pense encore à nous

Ne laissez jamais vos maison sans une représentation de la sainte Vierge. En voyant l'image de cette bonne Mère, priez-la de vous recevoir, vous et votre famille, sous sa sainte protection. Quand on aime quelqu'un, on s'estime heureux d'en avoir quelques objet à titre de souvenir. De même si nous aimons la sainte Vierge, nous devons nous faire un honneur et un devoir d'avoir dans nos maisons quelques une de ses images, qui de temps en temps nous rappelle notre Mère du Ciel. NOTRE-DAME MÉDIATRICE de TOUTES GRÂCES Que la très Sainte Vierge Marie soit la Médiatrice de toutes les grâces, ce n'est pas une doctrine nouvelle, et l'Office et la Messe approuvée par le pape Pie XI ne sont que la confirmation officielle d'une vérité qui découle de la Maternité divine de Marie et de tout le plan de Dieu dans l'ordre de notre salut. Cette fête était de plus en plus dans les voeux des serviteurs les plus fervents et les plus éclairés de la très Sainte Vi

Lorsque le cœur est pur, il ne peut pas se défendre d'aimer, parce qu'il a retrouver la source de l'amour, qui est Dieu. SAINTE JEANNE D'ARC Vierge, Libératrice de la France (1412-1431) Sainte Jeanne d'Arc montre une fois de plus, et d'une manière particulièrement éclatante, deux choses: combien Dieu aime la France et comme il est vrai qu'Il Se plaît à choisir les plus faibles instruments pour l'accomplissement des plus grandes choses. Jeanne d'Arc naquit à Domremy, dans la Lorraine actuelle, le 6 janvier 1412; ses parents, Jacques d'Arc et Isabelle Romée, étaient des cultivateurs faisant valoir leur petit bien. La première parole que lui apprit sa mère fut le nom de Jésus; toute sa science se résuma dans le Pater , l' Ave , le Credo et les éléments essentiels de la religion. Elle approchait souvent du tribunal de la pénitence et de la Sainte Communion; tous les témoignages contemporains s'accordent à dire qu'elle é

Dieu nous aime plus que le meilleur des pères, plus que la mère la plus tendre. Nous n'avons qu'a nous soumettre et à nous abandonner à sa volonté, avec un cœur d'enfant. SAINTE MARIE-MADELEINE de PAZZI Vierge, Carmélite (1566-1607) Sainte Marie-Madeleine de Pazzi, l'une des fleurs les plus suaves qui aient embaumé les jardins du Carmel, naquit à Florence. Dès l'âge de sept ans, à l'école du Ciel, elle était formée à l'oraison, et elle paraissait presque un prodige de mortification. Toute une nuit elle porta une couronne d'épines sur sa tête, avec des douleurs inexprimables, pour imiter son Amour crucifié. Chaque fois que sa mère avait communié, l'enfant s'approchait d'elle et ne pouvait plus la quitter, attirée par la douce odeur de Jésus-Christ. A partir de sa Première Communion, elle fut prête à tous les sacrifices, et c'est dès lors qu'elle fit à Jésus le voeu de n'avoir jamais d'autre époux que Lui. Aussi

L'envieux veut toujours monter ; le saint veut toujours descendre. Ainsi l'envieux descend toujours, et le saint monte toujours. SAINT AUGUSTIN de CANTORBÉRY Moine bénédictin et archevêque de Cantorbéry (+ 605) Aux V e et VI e siècles, l'île de la Grande-Bretagne évangélisée dès les premiers siècles du christianisme, était retombée dans le paganisme à la suite de l'invasion des Saxons. Le jeune roi de ce temps, Ethelbert, épousa Berthe, princesse chrétienne, fille de Caribert I er , roi de Paris et petit-fils de Clovis. Berthe consentit à ce mariage à la condition d'avoir sa chapelle et de pouvoir observer librement les préceptes et les pratiques de sa foi avec l'aide et l'appui d'un évêque gallo-franc. L'âme du roi de Kent subissait la salutaire influence de sa pieuse épouse qui le préparait sans le savoir à recevoir le don de la foi. Le pape Grégoire le Grand jugea le moment opportun pour tenter l'évangélisation de l'Ang

Quel bonheur pour un chrétien que de pouvoir aimer le Bon Dieu ! Lui  qui est si bon, si aimable et qui nous a tant aimé. SAINT BÈDE LE VÉNÉRABLE Confesseur et Docteur (673-735) Saint Bède naquit en Écosse, au bourg appelé aujourd'hui Girvan. A l'âge de sept ans, il fut donné au célèbre moine anglais saint Benoît Biscop, pour être élevé et instruit selon l'usage bénédictin. Son nom, en anglo-saxon, signifie prière , et qualifie bien toute la vie de cet homme de Dieu, si vénéré de ses contemporains qu'il en reçut le surnom de Vénérable , que la postérité lui a conservé. A sa grande piété s'ajouta une science extraordinaire. A dix-neuf ans, il avait parcouru le cercle de toutes les sciences religieuses et humaines: latin, grec poésie, sciences exactes, mélodies grégoriennes, liturgie sacrée, Écriture Sainte surtout, rien ne lui fut étranger. Mais la pensée de Dieu présidait à tous ses travaux: "O bon Jésus, s'écriait-il, Vous avez daig

Il ne faut jamais regarder d'où viennent les croix : elles viennent de Dieu. C'est toujours dieu qui nous donne ce moyen de lui prouver notre amour.

Nous n'avons qu'une foi éloignée de trois cent lieues de son objet, comme si le Bon Dieu était de l'autre côté des mers.

Il s'agit donc de savoir qui nous conduit. Si ce n'est pas l'Esprit Saint, nous avons beau faire, il n'y a pas de substance ni de saveur dans tout ce que nous faisons. Si c'est le Saint-Esprit, il y a une douceur moelleuse. C'est à mourir de plaisir.

Que c'est beau de s'offrir tous les matins en sacrifice au bon Dieu, et de tout accepter en expiations de ses péchés !

Toutes les fois que nous pouvons renoncer à notre volonté pour faire celle des autres, lorsqu'elle n'est pas contre la loi de Dieu, nous acquerrons de grands mérites, qui ne sont connus que de Dieu seul.

Il fallait que la descente du Saint-Esprit vînt fructifier cette moisson de grâces. C'est comme un grain de blé ; vous le jetez en terre : bon ! mais il faut le soleil et la pluie pour le faire lever en épi.

Celui qui vit dans le péché prend les habitudes et la forme des bêtes. La bête, qui n'a pas la raison, ne connait que ses appétits ; de même l'homme qui se rend semblable aux bêtes perd la raison et se laisse conduire par les mouvements de ce cadavre

La véritable cause de notre résistance, c'est que, dans le temps où nous étions tentés, il y avait un nombre presque infini d'âmes qui, par leur prières, leurs pénitences et toutes leurs saintes communions, ont opposé aux efforts du démon un rempart inébranlable.

On attache un grand prix aux objets qui ont été déposés dans l'objet l'écuelle de la sainte Cierge et de l'Enfant Jésus, à Lorette. Mais les doigts du prêtre qui ont touchés la chair adorable de Jésus-Christ, qui se sont plongés dans le calice où a été son sang, dans le ciboire où a été son corps, ne sont-ils pas plus précieux ?

Si nous avions al foi et que nous vissions une âme en état de pécher mortel, nous mourrions de frayeur. L'âme en état de grâce est comme une blanche colombe. En état de pécher mortel, ce n'est plus qu'un cadavre infect, une charogne.

Je n'ai jamais vu personne se ruiner en faisant des bonnes œuvres.

Jamais on en pourra se faire une idée, jamais on ne pourra dire ce que Notre Seigneur a souffert pour nous. Pour le comprendre il faudrait savoir tout le mal que le péché lui fait. Nous ne connaitrons cela qu'à la mort.

Le Bon Dieu ne pardonnera qu'à ceux qui auront pardonnés : c'est la loi.

Mais voila, on ne songe pas à la bonté infinie de Notre Seigneur, à tout ce qu'il a fait pour nous. Que nous sommes malheureux !

Il y en a qui donnent au Père éternel un cœur dur. Oh ! comme ils se trompent ! Le Père éternel, pour désarmer sa justice, a donné à son Fils un cœur excessivement bon : on ne donne pas ce qu'on n'a pas.

Lorsque nous croyons que tout est perdu, nous n'avons qu'a crier : "Seigneur, sauvez nous, nous périssons ..." Car Notre Seigneur est là à coté de nous qui nous regarde avec complaisance, qui sourit et qui dit : "Vraiment tu m'aimes ... Je reconnais que tu m'aimes".

On ne comprendra le bonheur qu'il y a de dire la messe qu'au ciel.

On n'a pas le courage de porter sa croix, on a bien tord; car, quoi que nous fassions, la croix nous tient, nous ne pouvons lui échapper.

Le Bon Dieu veut que nous combations, que nous combattions , que nous travaillons à empêcher l'ivraie de tout envahir.

Voyez ce que c'est que les hommes : les uns vous envoient au Ciel, les autres en Enfer. Il faut faire peu cas de leur jugement. Aujourd'hui le Saint curé d'Ars nous propose de méditer sur le jugement des hommes . Combien de fois par jour disons nous " Untel a fait cela, ... ça c'est bien" ou encore : "Tu as vu Machin , pff..., c'est pas croyable". Plusieurs fois ! Qu'est ce que cela ? Des jugements. Comment sont ces jugements ? Hâtifs. Bien souvent nous pensons tout haut sans trop réfléchir et nous jugeons notre prochain. Est-ce une attitude chrétienne ? Parfois oui, mais souvent non. Dieu est le seul juge en droit de nous juger. Les jugements que nous portons sont bien souvent erronés de par notre manque de réflexion et notre manque de connaissance de ce que nous jugeons. Qu'en dit l'Église ? elle nous encourage à nous abstenir de juger si ce la n'est pas nécessaire. Cela ne veut pas dire que nous n'avons pas le

Le Bon Dieu au moment de l'absolution jette nos péchés par derrière ses épaules, c'est-a-dire qu'il les oublie, il les anéantit : ils ne reparaîtront plus jamais. Aujourd'hui le Saint curé d'Ars nous propose de méditer sur le pardon de nos péchés . 624, tel est le nombre probable de confessions réalisé pour une personne de 20 ans, à raison de 1 confession par semaine et cela depuis l'âge de 8 ans. ça fait beaucoup ! Et nous pouvons estimer a 3380 le nombre de confession restantes toujours à raison d'une confession par semaine pour un individu vivant jusqu'à 85 ans. cela nous fait un total de 4004 confessions !!! N'est ce pas énorme ? Oui ! Et pourtant à chacune de ces 4000 confession le prêtre, représentant Jésus Christ, nous donne l'Absolution, c'est-à-dire qu'il nous pardonne nos fautes et les efface définitivement. C'est à ce moment que le Bon Dieu "jette nos péchés par derrière ses épaules" . C'est i

Je pense souvent que lorsque nous venons adorer Notre-Seigneur,nous obtiendrions tout ce que nous voudrions si nous lui demandions avec une foi bien vive et un cœur bien pur. Mais voila ! Nous sommes sans foi, sans désir et sans amour Aujour d'hui le Saint curé d'Ars nous propose de méditer sur la foi dans nos prières . La Foi est l'une des Vertus Théologales. C'est la première même, car sans la Foi les autres sont veines. Nous croyons, nous disons tous les jours et peut-être même plusieurs fois par jour "Je crois", mais avons nous réellement conscience de ce que cela implique lorsque nous prononçons ces mots ? Hélas non bien souvent. Prenons donc la résolution aujourd'hui de bien faire attention a chaque mots que nous disons lorsque nous prions. Prenons même le temps de méditer sur le Symbole des Apôtres, ce résumé de notre Foi. Pour cela, récitons lentement cette prière en pensant à chaque mot que nous prononçons. Je crois en Dieu, Le P

Les épreuves, pour ceux que Dieu aime, ne sont pas des châtiments, ce sont des grâces Aujourd'hui le Saint curé d'Ars nous propose de méditer sur les difficultés que nous rencontrons dans notre vie et leur rapport à la religion . En effet, tous les jours nous avons des joies et des peines, et cela est normal. A une plus grande échelle, nous traversons dans notre vie des périodes de tournamnées mais aussi des périodes de grande joie et paix intérieure. Cela est normal. Et il est intéressant de se poser la question : Pourquoi ces peines et ces joies ? De fait, pour nous catholiques, nous savons que tout ce qui existe provient soit de la volonté de Dieu, soit de sa permission. Donc nos joies et nos peines viennent aussi de Dieu. Or nous savons que Dieu nous aime et veut notre bien. Alors pourquoi nous envoie-t-il des peines ? Il y a deux réponses : la première logique est : pour nous châtier de nos fautes. Et cela est normal, tout comme la maman qui gronde son enfant

Le mot "toujours" fera le bonheur des élus ; le mots "jamais" fera le malheur des réprouvés.

L'enfer prend sa source dans la beauté de Dieu. Les damnés diront : "Oh ! si du moins Dieu ne nous avait pas tant aimés nous souffririons moins ; l'enfer serait supportable. Mais avoir tant été aimés, quelle douleur !"

Octave de Pâques Si l'on comprenait bien le prêtre sur ma terre, on mourrai non pas de frayeur mais d'amour. Aujour d'hui le Saint curé d'Ars nous propose de méditer sur Le prêtre . Pensons à bien prier pour nos prêtre qui sont les amis de notre âme ; ce sont eux qui la nourrissent par la sainte Communion et par leurs conseils ; ce sont eux qui la nettoient par la confession ; ce sont eux qui nous conseils dans les moments difficile... C'est aussi lui qui nous reçoit en premier et qui nous quitte le dernier ! Ayons un grand respect pour le Prêtre et prions pour eux ! J e vous souhaite une Bonne journée ! Que Dieu vous Bénisse !